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10 septembre 2025

Taxe foncière 2025 : DES ÉCARTS RECORDS SELON LES DEPARTEMENTS 

Depuis fin août, les premiers avis de taxe foncière au titre de l’année 2025 parviennent aux propriétaires. Si le montant moyen s’établit à 1 857 euros, selon les données de la Direction générale des finances publiques (DGFiP), les disparités entre territoires restent considérables.

Une hausse nationale de 1,7 %

Chaque année, la taxe foncière est recalculée en fonction de la valeur locative cadastrale, revalorisée selon l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH). Pour 2025, le coefficient de revalorisation a été fixé à +1,7 % (IPCH de novembre 2024). Résultat : la facture augmente mécaniquement pour l’ensemble des contribuables, même sans changement de taux voté par les collectivités locales.

Des écarts territoriaux vertigineux

Si la moyenne nationale avoisine 1 857 €, certains départements affichent des niveaux bien supérieurs.

  • En Seine-Saint-Denis, la taxe foncière atteint en moyenne 3 642 €.
  • À Mayotte, elle grimpe jusqu’à 3 646 €, un record national.
  • En région francilienne, les montants restent également élevés : 2 949 € dans le Val-de-Marne, 2 648 € dans les Hauts-de-Seine, 2 450 € à Paris.

À l’inverse, certains départements ruraux affichent des niveaux bien plus modérés :

  • 1 036 € dans la Creuse
  • 1 038 € en Vendée
  • 1 082 € en Haute-Corse

Pourquoi de telles différences ?

La suppression progressive de la taxe d’habitation pour les résidences principales (achevée en 2023) a incité plusieurs collectivités à compenser en augmentant la taxe foncière. S’y ajoutent de nouvelles contributions intégrées :

  • la taxe Gemapi, destinée à la prévention des inondations,
  • les taxes spéciales d’équipement, qui financent notamment les projets d’infrastructures comme les lignes à grande vitesse.

Ces éléments pèsent particulièrement dans les zones urbaines et tendues, expliquant des écarts qui peuvent aller du simple au triple entre départements.

Une hausse nationale de 1,7 %

Chaque année, la taxe foncière est recalculée en fonction de la valeur locative cadastrale, revalorisée selon l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH). Pour 2025, le coefficient de revalorisation a été fixé à +1,7 % (IPCH de novembre 2024). Résultat : la facture augmente mécaniquement pour l’ensemble des contribuables, même sans changement de taux voté par les collectivités locales.

 

Des écarts territoriaux vertigineux

Si la moyenne nationale avoisine 1 857 €, certains départements affichent des niveaux bien supérieurs.

  • En Seine-Saint-Denis, la taxe foncière atteint en moyenne 3 642 €.
  • À Mayotte, elle grimpe jusqu’à 3 646 €, un record national.
  • En région francilienne, les montants restent également élevés : 2 949 € dans le Val-de-Marne, 2 648 € dans les Hauts-de-Seine, 2 450 € à Paris.

À l’inverse, certains départements ruraux affichent des niveaux bien plus modérés :

  • 1 036 € dans la Creuse
  • 1 038 € en Vendée
  • 1 082 € en Haute-Corse

Pourquoi de telles différences ?

La suppression progressive de la taxe d’habitation pour les résidences principales (achevée en 2023) a incité plusieurs collectivités à compenser en augmentant la taxe foncière. S’y ajoutent de nouvelles contributions intégrées :

  • la taxe Gemapi, destinée à la prévention des inondations,
  • les taxes spéciales d’équipement, qui financent notamment les projets d’infrastructures comme les lignes à grande vitesse.

Ces éléments pèsent particulièrement dans les zones urbaines et tendues, expliquant des écarts qui peuvent aller du simple au triple entre départements.

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